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Rencontre avec Maxime Mithouard, triathlète, dans sa préparation de son objectif phare 2022: finir fort "Le Mythe" soit le XXL Embrunman

By: Rob Klingensmith

 

Sur les rives du lac Bourget en Savoie, un endroit qu'il connaît bien, où la surface du lac reflète les montagnes environnantes, nous avons rencontré Maxime Mithouard, triathlète de 30 ans, pour découvrir comment les lunettes ENGO vont l'aider à s'entraîner pour atteindre son plus grand objectif à ce jour : terminer le Triathlon XXL d'Embrunman en août.

Généralement appelé "Le Mythe", ce triathlon a également été qualifié de triathlon le plus difficile au monde, commençant par une natation de 3,8 km avant une étape de vélo de 186 km, et se terminant par un marathon complet (42,2 km).

 

Né à Rochefort-sur-Mer, Maxime a grandi en Normandie, préférant toujours être dehors, à courir et à faire du vélo avec sa sœur et ses parents, plutôt qu'à l'intérieur à jouer aux jeux vidéo comme ses camarades. D'ailleurs, la pire punition qui lui était infligée à l'époque était "pas de sport pendant une semaine" ! 

 

"À 13 ans, encouragés par mon professeur d'éducation physique, quelques amis et moi nous nous sommes inscrits à un triathlon, et notre équipe a fini sur le podium !". C'est ainsi que la passion est née, et que le triathlon a fait partie de son quotidien. 

 

Il démarre sa licence en sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) à Rouen avec un statut de sportif de haut niveau, avant de passer 6 ans dans l'armée de l'air. La vie civile l'a ramené dans les Alpes et à un emploi à plein temps dans l'informatique. Il applique aujourd'hui la même discipline apprise dans l'armée, à ses entraînements de triathlon. Comme beaucoup d'amateurs sur le circuit, il s'efforce de tirer le meilleur parti du temps dont il dispose pour s'entraîner, en s'assurant de ne gaspiller aucun effort et en utilisant des outils comme les ENGO pour optimiser les bénéfices de ses entraînements. 

 

En 2021, Maxime courait en première division (D1) sur le circuit français de triathlon et avait jeté son dévolu sur l’Embrunman. Durant les mois précédant la course, il s'entraîne 2 voire 3 fois par jour et jusqu'à 15 heures les week-end.

 

2 fois par semaine, Maxime se réveille à 5 ou 6 heures du matin pour pouvoir nager avant de travailler. À la pause de midi, c'est le moment de courir, et le soir, il enfourche son vélo. "C'est un programme très intense, mais le but de mon entraînement tout au long de l'année est d'y prendre le plus de plaisir possible, sachant que [durant la course] je vais mettre mon corps à rude épreuve,  un dur effort comme je n’en aurais jamais ressenti avant !"

 

Il a mis du temps à s'adapter à l'utilisation d'un compteur de vélo Garmin, mais une fois qu'il a vu le potentiel des ENGO pour aider à rationaliser la saisie de ses données, il est passé à une montre Garmin qu'il paire à ses lunettes.

 

"Les données que je suis le plus sont la puissance, c'est-à-dire les watts sur le vélo, et le rythme par kilomètre." En fait, le simple fait de connaître son allure lors du triathlon de Fréjus, plus tôt dans la saison, a vraiment sauvé sa course.

 

"L'excitation de la journée m'a fait tomber dans mon plus grand piège : partir trop vite sur la course à pied. Je pouvais voir que mon rythme dans les lunettes était beaucoup trop rapide à 2,55m/km alors que pour maintenir mon rythme pour la course de 10 km, je devais viser environ 3,15m/km. J'ai donc modifié mon allure et j'ai pu atteindre mon objectif et terminer dans le top 10."

 

Comme il n'enlève jamais ses ENGO, elles sont devenues un élément essentiel de sa routine d'entraînement. "Les lunettes me permettent de rester concentré sur mon niveau d'effort et sur la qualité de mon exercice sans avoir à regarder ma montre. Sur le vélo, les lunettes m'évitent de gaspiller de l'énergie dans des mouvements parasites. Je peux surveiller mes watts même dans une position aérodynamique. J'aime utiliser plusieurs écrans avec 3 données par écran : allure, watts, bpm et élévation, distance, durée. L'affichage devant les yeux est un vrai garde-fou."

 

Les ENGO se sont déjà avérées être un outil crucial pour Maxime, non seulement à l'entraînement, mais aussi en compétition, lui offrant un accès immédiat aux données qu'il peut utiliser pour prendre un avantage sur ses concurrents. À mesure que les jours s'égrènent jusqu'à Embrunman, nous nous entretiendrons davantage avec Maxime pour mieux comprendre comment les ENGO l'aident à s'entraîner pour s'assurer qu'il franchira la ligne d'arrivée de la course la plus importante de sa vie.

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